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Derniers mémoires recensés

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Dernières thèses ou HDR recensées

A Taïwan, les céramiques cordées imprimées sont attestées pendant tout le Néolithique ancien et moyen, de 6000 BP à 4000 BP, soulevant la question de l’uniformité des récipients céramiques imprimés aux mêmes époques dans les différentes régions de Taïwan. Cette uniformité serait le résultat de migrations ou d’interactions entre les communautés. La région du sud-est de Taïwan n’avait été jusqu’à présent que peu étudiée et peu intégrée aux débats sur les communautés constituant le Néolithique moyen. Dans cette thèse, nous abordons la question des communautés du Néolithique moyen dans le sud-est de Taïwan et de leurs interactions. L’ambition est de caractériser le Néolithique Moyen de cette région à partir des traditions potières et de leur évolution. Pour ce but, nous avons mené une étude technologique des assemblages céramiques des sites de la Baie de Dulan, Chaolaiqiao et Fushan. Le site de Chaolaiqiao a fait l’objet de fouilles afin d’obtenir des données chronologiques détaillées. Les assemblages céramiques ont été étudiés selon l’approche technologique. Une étude comparative a été menée ensuite sur les assemblages du site de Fushan dont l’occupation est légèrement postérieure à celle de Chaolaiqiao. Les résultats obtenus révèlent une même tradition partagée entre les deux sites. Elle se caractérise par l’ébauchage par modelage et le préformage par battage imprimé, ainsi que par une gamme de récipients répartis entre céramiques imprimées et non-imprimées. Le partage d’une même tradition entre les deux sites témoigne d’une même population. Par ailleurs, les proportions de céramiques imprimées et les types de récipients permettent de définir trois étapes successives au cours du Néolithique moyen, sachant que Chaolaiqiao et Fushan correspondent à des périodes d’occupation successives. L’évolution est continue, sans aucune rupture entre le début et la fin du Néolithique moyen. Une comparaison avec les assemblages céramiques de trois sites majeurs du sud-est de Taïwan, Peinan, Kenting et Donghebei, ont permis d’élargir nos hypothèses à l’ensemble de la région. L'analyse technologique des assemblages céramique montre que les mêmes traditions potières étaient pratiquées par les différentes communautés du Néolithique moyen du Sud-Est de Taïwan. Cette pratique commune signale une même manière de faire transmise au sein des groupes, et donc une même population. Par ailleurs, l’évolution continue observée dans la baie de Dulan est attestée sur les autres sites. Les différentes dates d’occupation des sites et leur durée suggèrent une expansion de la population d’origine en petits groupes dans l’ensemble du sud-est de Taïwan avec Kenting au sud, et Donghepei au nord. Des liens forts lient ainsi l’ensemble des sites du Néolithique moyen du sud-est de Taïwan dont on peut dire désormais qu’ils appartiennent au même ensemble culturel.

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Les recherches basées sur les origines évoluant, des avancées significatives ont été faites pour notre compréhension de la métallurgie ancienne du cuivre sud-est asiatique, ceci en partie grâce à de nouvelles fouilles de sites de production de métal, mais également par l’application de méthodologies de provenance à des assemblages couvrant au moins deux millénaires. Le Complexe de Vilabouly (env. 1000 av. J.-C – 700 ap. J.-C) au Laos central (Province de Savannakhet) est seulement le troisième site de production primaire connu en Asie du Sud-Est et a révélé des sites majeurs d’extraction minière et de production (Puen Baolo et Thong Na Nguak) avec des artefacts en lien avec la production du cuivre (fragments de minerais, de scories et de creusets) ainsi que des objets à base de cuivre (lingots, tambours, haches etc.). Les analyses des différents types de matériaux (MO, MEB-EDS, Spectroscopie Raman, pXRF, DRX, isotopes du plomb) ont permis de proposer une reconstitution de la chaîne opératoire de production du cuivre à Vilabouly, ses implications plus large pour la métallurgie du cuivre sud-est asiatique et sa contribution aux études de la préhistoire tardive en général. Les résultats semblent montrer l’utilisation de creusets pour la réduction au cours d’un procédé en une étape, employant une charge avec un mélange de minerais (principalement malachite et chalcocite) variable et dépendant des minéralisations exploitées, menant à l’obtention de scories homogènes dénotant une maîtrise du procédé. Une production primaire et secondaire de cuivre est donc attestée avec la plupart des signatures isotopiques du plomb concordantes avec celle de Vilabouly, avec des objets composés de cuivre, de bronze et de bronze au plomb. La cohérence de la signature géochimique correspond à l’intensité de l’exploitation du site, mais également à l’approvisionnement de métal à base de cuivre régionale en partie faite par Vilabouly avec des sites consommateurs de métal en Thaïlande, au Myanmar ou au Cambodge actuels.

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Ce travail s’engage dans la reconstitution d’une intelligibilité globale nouvelle pour la logique qui est née avec Frege afin de restituer l’une des conditions décisives pour la philosophie contemporaine, à savoir celle qui concerne son rapport aux pratiques et aux savoirs formels. Son hypothèse initiale affirme que le projet premier et constant de Frege a été celui d’une logique du contenu. Pourtant, il ne s’agit pas de réinvestir l’œuvre de Frege d’une cohérence nouvelle dans le but de rétablir une unité stable. Car l’intelligibilité procurée par cette reconstitution permet de localiser dans les formulations de Frege de véritables lacunes qui ne semblent pas avoir été identifiées comme telles jusqu’ici. Que la logique de Frege soit efficace malgré ces lacunes, voilà ce qu’il faut expliquer. La réponse que nous donnons à ces questions est que l’efficacité de la logique de Frege en tant que logique du contenu provient d’un certain rapport à l’Arithmétique, à savoir celui par lequel c’est la logique qui est construite d’après les principes de l’Arithmétique, avant qu’elle ne soit capable de la construire à son tour. La question se pose alors de caractériser avec précision à ce niveau constitutif, non « fondationnel », la nature du rapport entre une logique du contenu comme forme spécifique de la logique dans le cadre de sa mathématisation, et l’Arithmétique comme domaine mathématique particulier. De l’analyse minutieuse de la constitution du système logique frégéen, une idée se dégage qui constitue la thèse centrale de notre travail : les différents systèmes de la logique mathématisée ou formelle ne reposent sur les mathématiques que par l’intermédiaire d’une dimension d’exercice, de réflexion et d’élaboration de signes, où les circulations et les emprunts entre ces deux savoirs formels contemporains que sont les mathématiques et la logique se construisent et se justifient. C’est donc cette thèse qu’il s’agit de démontrer, par une étude détaillée des processus d’émergence des deux plus grands projets de formalisation de la logique du XIXe siècle : celui de Frege et celui de Boole et des Booléens. Dans cet espace qui mène des pratiques mathématiques aux systématisations logiques à travers les fonctionnements des signes, deux régimes généraux se dessinent : celui d’ « Abstraction symbolique » qui mène de l’Algèbre abstraite à la Logique propositionnelle booléenne ; et celui de l’ « Expressionnisme », qui mène de l’Arithmétique au Calcul logique des prédicats, associée aux travaux de Frege. Mais plus profondément, par l’effet d’une lecture symptomale au plus près des dynamiques internes à ces processus, le présent travail décèle un lien transversal entre le contenu logique d’une part et l’Arithmétique comme ensemble des déterminations du nombre de l’autre. En suivant ce lien, qui s’avère le responsable de l’introduction de la catégorie de sens dans le cadre de la logique mathématisée, une théorie de l’expression formelle se dessine, définissant les conditions pour le développement d’une logique du sens.

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Ce travail de thèse propose une analyse épistémologique des études publiées dans le domaine de la neurocriminologie, vaste programme de recherche mené dans l’objectif de redéfinir le problème de la criminalité en termes neurobiologiques, et qui vise à isoler les spécificités cérébrales des individus représentant une menace pour la société. L’objectif principal est d’évaluer la légitimité scientifique des ambitions annoncées par les neurocriminologues, c’est-à-dire de déterminer si leurs résultats garantissent une explication pertinente pour apprécier la dangerosité d’un individu. Il s’agit à la fois de s’interroger sur la possibilité empirique d’une explication neurobiologique du comportement criminel, et de déterminer si l’on peut donner un sens à l’ambition de fonder l’évaluation du risque de récidive sur des critères neurobiologiques.Le premier niveau d’analyse propose une reconstruction historique de la neurocriminologie, depuis les premières études électroencéphalographiques (EEG) démontrant un lien entre la présence d’anomalies cérébrales et la manifestation d’un comportement antisocial. À partir d’une analyse conceptuelle et méthodologique de la littérature publiée depuis le début des années 1940, nous montrons que ce programme de recherche est entièrement structuré autour d’une logique neuro-interventionniste qui vise à promouvoir une stratégie de pathologisation et de médicalisation du criminel. Le principal obstacle épistémologique réside dans le fait que cette logique contraint la construction du modèle explicatif au prix d’une série de pétitions de principe : les finalités poursuivies par les neurocriminologues introduisent un biais systématique dans la construction des modèles expérimentaux et dans l’interprétation des données recueillies chez les criminels. Tout au long du développement de la neurocriminologie, on voit s’opérer la construction anthropologique d’un criminel d’autant plus dangereux que son cerveau est "monstrueux". Ce modèle explicatif vise à fixer les termes d’une dangerosité accessible à une intervention neuroscientifique, en réduisant la figure de l’individu dangereux à un "cerveau à corriger" : un cerveau "défectueux" mais surtout rectifiable, qui encourage l’idée selon laquelle il serait possible de traiter le problème de la criminalité en corrigeant le cerveau des criminels.Le second niveau d’analyse propose de resituer le projet neurocriminologique dans l’histoire de la phrénologie et de l’anthropologie criminelle du XIXe siècle. Si la neurocriminologie s’efforce de défendre le caractère inédit de ses recherches et de dissimuler les stigmates de son long héritage, l’analyse conceptuelle et méthodologique de la littérature montre qu’elle est condamnée à réactualiser des présupposés hérités de l’organologie de Franz-Joseph Gall et de la criminologie positive de Cesare Lombroso. Les thèses de Gall et Lombroso imprègnent toutes les étapes de la construction des études : des stratégies de recherche privilégiées par les neurocriminologues jusqu’aux concepts mobilisés dans l’interprétation des données, en passant par les présupposés qui sous-tendent chacun des choix méthodologiques opérés. Cette analyse permet en particulier de déconstruire le double discours de la neurocriminologie, laquelle se défend de négliger l’influence des facteurs socio-environnementaux dans le développement de la criminalité, tout en cherchant à confirmer un modèle préformationniste admis au préalable. L’interprétation des données recueillies chez les criminels vise à montrer que leur dangerosité s’exprime au travers d’une potentialité préexistante, d’un état cérébral porteur d’une anomalie particulière, et qui détermine toutes les conditions d’émergence du comportement criminel. Il en résulte une démarche parfaitement circulaire, condamnée à produire des biais de confirmation en vue de promouvoir les finalités poursuivies par les chercheurs, sans fournir aucune explication des phénomènes psychologiques étudiés.

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Formé auprès de Gaston Bonnier (1853-1922) à Paris à la fin des années 1880, Henri Devaux (1862-1956) s’impose comme l’un des botanistes prometteurs de sa génération en travaillant sur les échanges gazeux chez les plantes aquatiques. De 1906 à 1932, il occupe la chaire de physiologie végétale de la Faculté des sciences de Bordeaux. Bien que ce ne soit pas son domaine de prédilection, il s’intéresse progressivement à la physico-chimie des lames (ou couches) minces et devient l’une des figures de l’école française qui émerge dans les années 1910 autour de ces questions. Tout au long du premier tiers du XXe siècle, ses travaux sur les effets de surface vont faire autorité, y compris outre-Atlantique, et lui ouvrir les portes de l’Académie des sciences. Les lames minces sont aussi un moyen pour lui de comprendre la structure et le fonctionnement des membranes cellulaires et in fine ceux du vivant à l’échelle moléculaire. En nous appuyant sur près de 10 000 pages de notes de laboratoire inédites, nous avons reconstruit l’essentiel de son cheminement intellectuel dans ce domaine.Ancré dans la foi réformée, Devaux cherche par ailleurs à montrer dans des écrits de vulgarisation que les savoirs scientifiques et la Bible concordent. Il y défend notamment une vision créationniste et fixiste du monde. Devaux lie régulièrement science et religion dans ses carnets de laboratoire et affirme même sa foi dans un article du Journal de physique.

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Le néomalthusianisme est un courant de pensée qui réunit des pédagogues, des médecins, des anthropologues et des militants féministes et anarchistes. Sa réflexion et son action ont une dimension politique, économique et scientifique. Son projet est une transformation profonde des sociétés humaines par la limitation des naissances afin d'aboutir à une meilleure organisation sociale, capable de répondre à l'aspiration légitime des êtres humains au bonheur. Les moyens pour atteindre cet objectif sont la généralisation de la prophylaxie anticonceptionnelle qui comprend les techniques contraceptives et l'avortement. Le mouvement néomalthusien a été particulièrement actif en France, des années 1890 à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Il a également soulevé de nombreuses oppositions et a été activement combattu, notamment après la Première Guerre mondiale. S'intéressant au nombre des naissances, le néomalthusianisme souligne l'incompatibilité entre l'augmentation exponentielle de ce dernier et la possibilité pour les membres composant une collectivité de disposer du nécessaire afin d'atteindre le bonheur.De ce fait, le néomalthusianisme français est inséparable de l'eugénisme, thème central dans l'histoire de ce mouvement, de son émergence à ses derniers développements dans les années 1930. Le présent travail a pour objectif de tracer un portrait synthétique inédit du néomalthusianisme français en privilégiant son rapport aux sciences biomédicales et à la culture scientifique. [...]

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La chimie des résines est née en France à Bordeaux au début du XXe siècle. Son émergence est inextricablement liée à la création de l’Institut du Pin. Cet établissement est une entité complexe dont les origines remontent à 1900, moment où Maurice Vèzes, professeur de chimie, établit à Bordeaux le Laboratoire de chimie appliquée à l’industrie des résines afin d’aider l’industrie locale à résoudre une crise sociale et économique. La place des produits résineux sur le marché est menacée à l’époque par l’émergence de l’industrie pétrolière. Sous la direction des grandes figures de la chimie française Georges Dupont et Georges Brus, l’Institut du Pin contribue à la valorisation de la résine de pin. Non seulement il développe de nouveaux débouchés, mais il s’implique dans la normalisation de dérivés résineux en France et à l’international. Les travaux de l’Institut suscitent aussi l’intérêt outre-Atlantique. L’industrie américaine des résines profite amplement de l’expertise française et essaie d’établir ses propres institutions scientifiques à l’image de celles en France. L’Institut du Pin devient le véritable centre mondial de la chimie des résines et remplit ce rôle jusqu’au déclin de l’industrie régionale à la fin des années 1960.

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En 1638, paraît en Angleterre un ouvrage de John Wilkins (1614 - 1672), traitant de la pluralité des Mondes et plus précisément de la découverte d’un nouveau Monde : la Lune. Grâce à une argumentation dialectique, l’auteur tente de montrer la similarité entre la Terre et notre satellite. Il s’appuie pour cela sur le modèle copernicien et sur les observations astronomiques de Galilée. De cette similarité, en résulte, selon lui, l’idée que la Lune est peut-être habitée comme la Terre, par des êtres qu’il nomme Sélénites. Il ajoute qu’il serait possible de s’y rendre, et de commercer avec les habitants. L’objectif de cette thèse est d’étudier la place des sciences du vivant dans les théories sur la pluralité des Mondes, principalement dans l’œuvre de John Wilkins, et les différentes implications littéraires, théologiques et philosophiques qui en découlent.

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F. Bordes marque de son empreinte la construction de la préhistoire dans la seconde moitié du XXe siècle. Une analyse thématique de son oeuvre en trois parties permet de mettre en lumière ses principaux aspects.Une première partie, intitulée « Une approche normative », est consacrée à la démarche de F. Bordes qui est caractérisée par un renouvellement méthodologique. Une seconde partie, au titre de « Les industries lithiques comme fil d’Ariane », est consacrée aux interprétations de F. Bordes concernant l’évolution des cultures préhistoriques et à ses recherches pour reconstituer la vie quotidienne matérielle au Paléolithique. Une troisième partie, « La construction d’une école de pensée », aborde la place particulière de F. Bordes au sein de la communauté des préhistoriens. Enfin, F. Bordes est également Francis Carsac, un auteur de science-fiction, dont l’étude des récits permet de donner un éclairage complémentaire sur ses préoccupations. En conclusion de cette thèse, un regard est porté ce qu’il reste de sa contribution scientifique.

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L’objet de ce travail est d’étudier les évolutions des mathématiques dans l’État de Saxe entre 1765 et 1851. En analysant les transformations sociales et institutionnelles de la discipline, nous montrons que cette période, loin d'être une période creuse pour les mathématiques allemandes, est riche en réflexions sur leur rôle et leurs méthodes. Une attention particulière est portée aux réformes des institutions scientifiques et techniques dans lesquelles les mathématiques sont pratiquées, notamment les universités de Leipzig et Wittenberg, l’Académie des mines de Freiberg et l’École polytechnique de Dresde. Les archives des établissements, ainsi que l'étude biographique des mathématiciens, permettent d'analyser les politiques scientifiques engagées et leur influence sur le développement des sciences mathématiques en Saxe.

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